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Annie Cossette

Le plaisir des mots habite très jeune Annie Cossette. Dès l’âge de huit ans, elle se fait réprimander car elle se réveille la nuit pour lire. Le plaisir d’écrire et d’inventer des histoires lui vient donc naturellement. Pendant des années, elle doit néanmoins se restreindre à l’écriture « fonctionnelle » liée aux communiqués de presse et aux documents promotionnels, mais cette passion ne la quittera jamais. Née à Ste-Thècle, en Mauricie, Annie Cossette réside aujourd’hui à Joliette, dans la région de Lanaudière où elle s’est installée avec sa petite famille. Son travail actuel, la mise en marché et la promotion des produits alimentaires lanaudois, l’aura indirectement conduite à renouer avec l’écriture qu’elle avait dû abandonner. Ses activités de chroniqueuse gastronomique à la radio internet La Godasse ainsi qu’à la section Art de vivre sur la gastronomie régionale du magasine d’art Parcours l’auront amenée à redécouvrir le plaisir d’écrire pour elle-même, la poussant également à sortir de sa zone de confort. La participation à ce collectif parrainé par les Éditions Aveline marque ce retour à l’écriture. Fascinée par le quotidien et les coïncidences qui l’habitent, elle s’inspire de la vie et de ses voyages tandis que l’écriture lui permet d’emprunter des chemins imprévisibles débouchant sur de nouvelles perspectives et leurs paradoxes. Par sa contribution au deuxième volume de la collection je plume et tu pinceaux, elle réalise deux désirs jusque-là inassouvis : produire ses propres nouvelles et être publiée pour ses quarante ans.



Chantal Pelletier

Chantal Pelletier nait à Montréal en 1968. Exploratrice et avide de liberté, elle termine ses études secondaires et voyage à travers le Québec en occupant de multiples emplois pour enfin s’arrêter sur une ferme où elle s’installe. Elle vit alors au sommet d’une montagne dans un environnement paradisiaque où elle s’occupe de brebis et de chevaux. Curieuse, elle étudie tout ce qui lui tombe sous la main au sujet de la nature pour laquelle elle voue un culte sacré. Ornithologue amateur et passionnée de faune et de flore, elle y puise l’inspiration et commence à écrire des textes sur sa contemplation. Au Centre d’art Saidye Bronfman de Montréal, elle étudie et pratique également le dessin, la colographie, la calligraphie et bien d'autres techniques et se découvre une préférence marquée pour la sculpture d'argile qu’elle affectionne pour son côté primitif et sensuel. Depuis, elle cumule ses œuvres en vue d’une exposition. À sa vie, elle ajoute aussi l’astrologie, une approche qui lui permet d’élargir ses horizons, sa compréhension et sa tolérance du genre humain et de ses paradoxes. Parmi ses clients, on compte autant de professionnels et d’ouvriers que de personnalités du monde artistique. Puis au sein de la Direction de la protection de la jeunesse, elle prend vite conscience des déficiences du système actuel, un aspect de la société qui la marquera à jamais. Chantal Pelletier ne cesse de développer l’art et l’écriture qui font désormais partie de son quotidien. Des encriers sur la table… est sa première sortie en public.



Joanne Ranzell

Joanne Ranzell naît le 15 juillet 1967 à Hull au Québec. Enfant timide, lunatique et rêveuse, elle passe beaucoup de temps sur la ferme de ses grands-parents où elle crée des personnages et des histoires qu’elle couche sur papier. De mère francophone et de père anglophone, descendante de quatre nationalités différentes, elle est néanmoins interpellée par ce qui se passe sur la scène internationale et complète des études en Sciences Politiques qu’elle délaissera au profit de la Scénarisation Cinématographique. Elle occupe un poste depuis des années, mais continu d'écrire en silence ses états d’âme. Puis la trentaine la pousse à puiser encore plus dans ses émotions tandis que ses écrits deviennent thérapeutiques. En mars 2007, elle tombe par hasard sur un site Internet français où elle fait la rencontre de personnes merveilleuses qui redonnent courage à sa passion. Très vite, elle voit certains textes mis en musique par Marc Dupaix, guitariste qui a le don de mouler ses notes à ses émotions. La timidité s’envole, l’assurance s’ancre et Joanne voit une de ses œuvres préférées, Merci la vie, réalisé en 4 versions dont l’une se retrouve en page d'accueil du www.mercilavie.net/option2.html à cause de son message d’espoir et de son hymne à la vie. Encouragée, elle se donne le www.myspace.com/jobou et se lance sur le Web où elle croise la route de Carole Lussier qui l’amène à prendre son envol avec le collectif proposé par sa maison. Sa passion se concrétise et se vit enfin ; une plume que jamais plus elle ne taira.


Marie Louise Monast
 
Marie Louise Monast naît le 17 janvier 1953 à Sorel, Québec. Elle est la sixième d’une famille de onze enfants et leur vie ressemble drôlement à la chanson de Joe Dassin : Le chemin de papa. Artiste dans l’âme, elle compose et chante depuis sa tendre enfance. À ses dix ans, après qu’une religieuse ait lu une de ses rédactions devant la classe en la qualifiant de « très originale », s’éveille le goût d’écrire. Passionnée des sons, les mots deviennent vite des sons dissonants ou harmonieux qui évoquent des phrasés musicaux. Complice, la musique calligraphie dans son imagination des scénarios adagios et allégros. Sa plume sollicite les valeurs du cœur et de la vie, elle tire son inspiration du quotidien : les gens, les évènements, les anecdotes, les drames, les succès, les rêves nocturnes et diurnes. Dans chacun de ses textes, elle s’engage à être originale et personnelle en offrant à ses lecteurs et ses lectrices une fenêtre ouverte sur l’intériorité de mes personnages. Quel beau privilège que de pouvoir partager ses émotions, ses connaissances, son amour pour la vie avec les autres ! Néanmoins, si elle n’a rien à dire, sa plume se tait. Elle a publié son premier roman, Rose au clair de San, qui a paru en 2007 aux éditions Les nouveaux auteurs. Mère de trois enfants, elle se permet de consacrer du temps à l’écriture et à la musique tout en vaquant à son travail de bureau. Venez la rencontrer sur le www.myspace.com/marielouisemonast.


Laval Du Breuil

Laval Du Breuil nait en 1944 à Adstock, dans les Appalaches québécoises. Descendant de charpentiers et d’industriels du bois de sciage, il fait des études classiques qui le mènent tout naturellement à une carrière dans le domaine de l’ingénierie. Information, télécommunications et réingénierie sont, en milieu universitaire, ses principaux champs d’action. L’écriture a toujours occupé une grande place dans sa vie, mais ses œuvres prennent la forme de rapports techniques et administratifs qui sont reliés à ses compétences ainsi qu’à celui de l’environnement des lacs où il agit en tant que bénévole depuis près de dix ans. Sur le marché, du même auteur, on trouve actuellement plusieurs ouvrages de compilation et de matériel d’enseignement, mais aussi de livres qui expliquent et démystifient le bridge et son arbitrage, jeu qui le passionne. Même si ses derniers essais remontent à son adolescence, l’auteur a pourtant gardé une certaine nostalgie pour l’écriture littéraire, genre qui laisse plus de place à  l’imagination et à l’émotion. À sa retraite, non seulement veut-il relever le défi de renouer avec ce désir, mais il décide de soumettre quelques textes au jugement de la communauté tant des écrivains que des lecteurs. Ce projet de recueil collectif constitue le premier jalon de sa démarche. Mis à part le site qui traite du bridge, l’auteur s’est maintenant donné une page Web littéraire où il est désormais possible d’y découvrir le romancier, un écrivain aux mille surprises, et des contes empreints de sagesse, héritage d’une longue vie active et d’analyse scientifique.


 
Marjolaine Bergeron
 
Marjolaine Bergeron est née le 2 novembre 1940 à Québec, dans la belle province du même nom. Mariée à 18 ans, elle s’installe à Montréal où elle mettra au monde quatre enfants auxquels elle se consacrera. Vingt-cinq ans plus tard, elle rentre à Québec et prend un poste d’intervenante en milieu pour femmes en difficulté — travail duquel, elle confie maintenant avoir retiré de frappantes et inoubliables leçons de vie. Du plus loin qu’elle se souvienne, elle a toujours eu un livre à la main. Plus tard, elle déclarera d’ailleurs qu’elle attendait Noël parce qu’elle savait qu’elle en trouverait beaucoup sous le sapin. Retraitée depuis dix ans, passionnée de littérature et de musique, elle se laisse enfin succomber à cette dernière tentation, l’écriture. Elle dépoussière ses œuvres, propose timidement un premier texte sur le carole-lussier.com et se voit très vite encouragée. Elle s’attaque aussitôt à un autre genre et répond à une invitation sur un thème imposé, texte qui sera, lui, retenu et exposé sur le site. Non seulement publie-t-elle aujourd'hui dans le premier volume de la collection je plume et tu pinceaux, mais c’est avec joie qu’elle se remet maintenant à son premier manuscrit. Marjolaine Bergeron aime à se définir comme une femme sans demi-mesure, parfois difficile, mais intense et vraie.

 


Monique Michaud

Après un séjour d’une vingtaine d’années à Montréal, Monique Michaud s’attache à Joliette où elle réside depuis. Dans la trentaine, son insatiable curiosité l’aiguillonne vers un cours de rédaction, l’activité qui, selon ses dires, l’aura le plus parfaitement comblée à ce jour. Explorer un sujet, compiler l’information et présenter un article à un magazine, elle adore et en redemande. Toutefois, les contacts nécessaires pour se donner un réseau de clients capables d’alimenter son indomptable passion pour la plume lui font défaut. Elle plonge dans un nouvel apprentissage, l’écriture de fictions qu’elle voit comme un art difficile, celui de « lire autrement » les événements et les êtres humains, tous uniques et complexes, pour ensuite les raconter. Aujourd’hui, elle compte plusieurs dizaines de nouvelles éditées dans des revues littéraires ainsi que de nombreux prix et mentions récoltés dans divers concours. Pendant ce temps, elle anime aussi des ateliers d’écriture au Centre des Femmes de sa ville jusqu’en 2006 où s’impose le grand défi du roman auquel elle consacrera au-delà de quatre ans : Le dernier regard paraît aux Éditions la Caboche en septembre 2011. Pour la connaître, découvrir son œuvre, son parcours et les photos de son lancement, elle invite ses lecteurs et ses admirateurs à venir la rencontrer sur le www.myspace.com/monique.michaud, son site personnel. Entre les séances de signatures, Monique Michaud nous dit qu’elle travaille maintenant à son deuxième roman.

Également parue aux Éditions Aveline, collection je plume et tu pinceaux, volume II, Le vent dans les voiles…

 


Myreille Barrette

Myreille Barrette est née un soir de pleine lune et de grande marée sur les rives de Saint- Barthélémy. Elle est haute comme trois pommes quand son père lui apprend la chanson Je reviens chez nous de Jean-Pierre Ferland. Un jour, pour son anniversaire, ses parents lui offrent un petit tourne-disque qui déclenche chez elle plusieurs passions : la musique, les mots, la poésie. Elle écrit ses premiers balbutiements sur les versions instrumentales des 45 tours et l’adolescence vient confirmer sa nécessité d’écrire. Elle entreprend des études en littérature, en scénarisation cinématographique et en communications. Les rêves cèdent la place à d’autres, ses enfants et un travail passionnant. Le parchemin de son parcours professionnel est sillonné d’expériences ; l’industrie du disque et du spectacle où elle débute en tant que productrice déléguée et où elle rencontre des artistes de la relève ayant besoin de diffusion et de soutien pour leur tournée ou leur promotion. Son bagage en communications l’amène à plonger en tant qu’agente puis elle fonde son entreprise ainsi qu’une boîte à chansons. Elle a alors la chance de rencontrer de grands auteurs compositeurs interprètes avec qui elle travaillera. Puis à l’aube de la quarantaine, l’écriture la souffle littéralement. Un appel transmis par le vent du temps, qui est venu reprendre sa place, la seule, la sienne. Elle écrit un long métrage, de la poésie et des chansons puis se lance dans la nouvelle et le conte. Peu importe le chemin, c’est maintenant écrit noir sur blanc. http://www.lagriffedemy.blogspot.com/

 


Myriam Wakil

Myriam Wakil est la deuxième d’une famille de cinq enfants. Jeune, ses parents l’encouragent à la lecture et elle passe des heures entières dans les livres en oubliant tout ce qui l’entoure. En vieillissant, son intérêt pour la lecture mue : essentiel pour nourrir l’esprit, mais incapable de suffire aux idées qui débordent. L’écriture finit donc par se tailler une place, discrète au départ, puis de plus en plus fleurissante. Titulaire de deux diplômes d’études collégiales et d’un certificat universitaire, elle hésite dans son choix de carrière, puis trouve un compromis en acceptant une poste de secrétaire de direction à l’École de technologie supérieure, constituante de l’Université du Québec, où elle œuvre depuis 1999. Myriam a néanmoins longtemps contenu son énergie créatrice, ne la libérant que pour écrire des histoires de veillée qu’elle partage avec les louvettes et les louveteaux, ou de petites nouvelles, des contes et des poèmes qu’elle range ensuite dans un écrin. Elle puise son inspiration autour d’elle, mais aussi en se rappelant son grand-père maternel qui la poussait à développer ses passions. Il aura pourtant fallu qu’elle frappe la trentaine pour trouver le courage d’aller de l’avant et de vivre l’aventure de l’écriture. C’est en collaborant à la réalisation du volume II de la collection je plume et tu pinceaux, une équipe qu'elle qualifie avec enthousiasme de « ... formidable », que le rêve se transforme maintenant en réalité. www.myspace.com/myriam-wakil

 


Nicolas Vidril

Nicolas Vidril nait en 1979 à Montréal et grandit sur le Plateau. Dès qu’il apprend à écrire, il a déjà cette ambition et se voit même inventer une nouvelle langue. Ses études secondaires terminées, il pivote vers l’électromécanique, la guitare et le jazz, mais se laisse dériver jusqu’au style classique où il se découvre une première passion qui le ramène aux grands classiques de littérature et retrouve vite cet amour qu’il avait abandonné : le poète est réveillé. Pour assouvir son besoin de création, il multiplie les textes, puis écrit deux romans qui ne seront pas publiés. Déterminé et résolu, il s’outille davantage en s’inscrivant en littérature à l’UQAM, une formation qu’il suit avec beaucoup de sérieux sans toutefois pousser davantage. Un peu plus tard, il approche le www.carole-lussier.com, site Web qu’elle dédie en partie aux auteurs en devenir, et fait la rencontre de Carole Lussier qui l’encourage par des thèmes imposés à développer son style et son inspiration. Il présente quelques nouvelles qui sont chaleureusement accueillies et s’engage dans le recueil collectif 2009, Des encriers sur la table…, son premier projet de publication. Aventurier intéressé par toutes les formes d’arts mais par l’écriture en particulier, il aime à cacher son côté sensible et émotif derrière les bouffonneries qu’il peut aisément faire passer de l’humour absurde jusqu’aux jeux de mots. Nicolas Vidril est un homme à l’écoute, qui vit et ressent intensément les événements et l’écriture est un moyen d’extravertir les impressions que le monde laisse en lui.
 
 


Pierre-Luc Salvati

Pierre-Luc Salvati nait en 1981 à Montréal, au Québec, Canada. Dès son plus jeune âge, il développe et démontre une imagination hors du commun, mais aucun intérêt pour la lecture ou l’écriture et rien ne laisse présager le métier d’écrivain. En fait, il passe la majorité de son enfance à faire du sport et à inventer des activités qui le mèneront vers toutes sortes d’aventures et péripéties. Après le secondaire, il se laisse charmer par le domaine des affaires, plus précisément par le marketing qu’il voit comme un immense terrain de jeu dans lequel il pourra utiliser son esprit créatif puis et s’inscrit à l’Université de Concordia ainsi qu’à l’Université de Montréal où il complète son bac. Plus tard, il réalise néanmoins que ce domaine n’est pas si ouvert et entrepreneur qu’il le croyait et se voit déçu par le conservatisme du métier ; peu de gens ont le courage de la nouveauté et encore moins ont le désir du vrai changement. La mentalité du milieu le torture au point de le pousser à mettre ses projets en veilleuse et concentrer ses activités là où son imagination peut réellement être mise à profit. C’est alors qu’il se lance dans l’écriture où les limites sont pratiquement inexistantes. Ce passe-temps devient rapidement une passion, il y exploite l’énigme et le comportement humain. Pierre-Luc Salvati s’est ainsi donné le moyen de satisfaire son besoin de création, un besoin qu’il réussi à doubler avec la possibilité d’y passer son concept de la vie.




Véronique Morel

L’estime de soi était un ruisselet discret vaguant dans les bosquets, d’où scintillaient ses larmes fleuries... Née en octobre 1948 à Saint-Boniface-de-Shawinigan en Mauricie, Véronique Morel est une enfant docile qui s’émerveille des légumes virevoltant dans le bouillon de soupe ou qui se crée des mondes fantastiques plutôt que de jouer avec les autres. C’est une fillette timide et studieuse. Elle écrit d’ailleurs un journal auquel elle se confie mais le rangera au moment de son mariage, et met au monde trois enfants qui la rendront grand-mère à leur tour. En 1982, elle sortira son « confident » du mutisme pour le faire parler selon les humeurs du jour. Persuadée que son « minime talent » n’est rien, elle s’inscrit tout de même à des ateliers d’écriture d’où naîtront de solides amitiés et les mots lui feront d’éblouissantes déclarations d’amour en dansant cœur à corps avec elle. Deux de ses textes seront publiés dans La revue du loisir littéraire. C’est néanmoins au contact du www.carole-lussier.com qu’elle prendra vraiment confiance en elle. Encouragée par l’hôtesse du site, elle relève les défis posés par les thèmes du mois et découvre le plaisir de les parer de mots chatoyants. Bientôt, elle monte à bord du fabuleux projet je plume et tu pinceaux et y trouve un jardin accueillant où ses rêves peuvent éclore. Parcours valorisant qui l'a d'ailleurs menée à s'associer avec la propriétaire du site et aujourd'hui partager sa gestion. L’estime de soi est toujours un ruisselet discret qui coule maintenant au grand jour, entre les nuages et sur les arcs-en-ciel, dans lequel s’abreuve Véronique Morel... www.myspace.com/veroniquemorel

 

 



 
Aliza Claude Lahav
 
Aliza Claude Lahav naît à Paris le 5 juin 1933 dans une famille qui fut disloquée et dispersée durant les années de guerre et de déportation 1939-1945 de laquelle son père ne reviendra jamais. Deux nouvelles, Les pantoufles et La prière, racontent à petites doses ces temps violemment tourmentés. En 1948, Aliza immigre seule en Israël pour vivre quelques années dans un kibboutz. Cette époque, celle de la création de l’État d’Israël, sera pour elle une expérience enrichissante et inoubliable. Mère de trois fils, elle compte six petits-enfants. Veuve, elle s’installe ensuite et demeure dans une banlieue de Tel-Aviv. Psychomotricienne diplômée de l’Hôpital de la Salpêtrière à Paris, et psychothérapeute familial formée en Israël, Aliza travaillera dans l’un des plus grands dispensaires de santé mentale d’Israël. Dans les années 60, en compagnie de deux amies, elle fondera un théâtre de marionnettes tout en s’adonnant également au théâtre amateur. C’est en 1997, après sa retraite, qu’Aliza commencera sérieusement à écrire. Cette envie d’exprimer toutes les émotions accumulées au cours de sa vie la mènera jusqu’en 2002 où elle lancera enfin son site Web, Mon cahier de brouillons, qui présente encore aujourd’hui la majorité de ses écrits. Douze de ses nouvelles ont été éditées chez Edilivre en janvier 2009. Femme de courage et de détermination, elle est persuadée que … Ce n’est qu’en dévoilant des petites parcelles d’âme que l’on va à la rencontre d’autrui, il n’y a pas d’autre chemin, il n’y a pas d’autre moyen. C'est celui que j'ai choisi.
 
 
 
 
André Laugier
 
André Laugier est née le 16 mai 1942 à Marseille. Un poète dont le parcours de vie ne manque pas d'originalité et de maîtrise qui, avec cette heureuse sélection de mots qui nous ramène au temps béni où la langue française avait ses lettres de noblesse, déplacerait les glaciers s’il le pouvait. Épicurien confirmé, il ouvre les portes du cœur et de l'âme avec une fièvre dévorante qui n'appartient qu'à lui. Il voue un véritable culte à la nature avec qui il entretient des rapports privilégiés et avec laquelle il aime se mesurer : il a besoin de défis. Le sonnet, certainement l'une de ses formes d'expression favorite, lui convient à merveille. Poète et illusionniste professionnel, il a commis de nombreuses œuvres autant dans la littérature concernant la magie que dans la poésie classique. Il part du principe que « la poésie est la magie des mots et la magie, la poésie du geste ». Conférencier et essayiste, il a aussi publié Plaisir de Lyre, un premier recueil de poèmes alexandrins et de sonnets. Membre de la Société des Arts et Lettres de France ainsi que de la Société des Poètes Français, il a été récompensé d'une quinzaine de prix dans des concours poétiques francophones. Aujourd’hui, André Laugier s’est également donné un site, Échos poétiques, qu’il consacre à ses œuvres dans le respect de la défense de la langue française. Spécialiste de la « fable express », il est aussi modérateur sur plusieurs forums littéraires et collabore à de nombreuses revues (papier) sur la poésie.
 
 
 
 
Anick Modeste
 
Anick Modeste est née à Fort-de-France, en Martinique, de père martiniquais et de mère guadeloupéenne. Ayant quitté très tôt son île natale, elle a vécu la majeure partie de son existence en France. Grande voyageuse, elle se plaît à tracer les itinéraires de son imagination et noircit, dès l’âge de dix ans, d’innombrables pages de récits ou de proses. Bien plus tard, au cours d’un séjour dans l’Ardèche, elle éprouve un réel besoin d’écrire et construit une première et véritable fresque romanesque inspirée par l’atmosphère et la nature ardéchoises. Dans son premier roman, Le désir arraché, publié en 2004, elle décrira avec beaucoup d’émotion ses premiers pas littéraires. Puis tout s’enchaîne. Un mariage, trois enfants et un divorce après quoi elle s’installe à Gignac, dans le Hérault, où elle se remet à la vie professionnelle. Forte de ses stages en danse folklorique, elle crée au sein du Foyer Rural un atelier pour les enfants et, passionnée, va jusqu’à s’initier aux danses slovaques et écossaises. En 1997, avec son second compagnon, elle reprend « la route du rhum » pour rentrer en Guadeloupe. De là, se fait véritablement entendre le cri de l’écriture. C’est dans cette île que les personnages de son premier roman, Le désir arraché, vont enfin prendre vie. Pendant ce temps, elle anime aussi des ateliers de contes, lance et assure la direction d’un journal culturel M comme Moule tout en s’engageant dans un stage d’écriture dramatique. Anick Modeste déclare maintenant que l’écriture est un point de rencontre avec elle-même. De nombreux projets sont en cours, elle pense d’ailleurs écrire pour la jeunesse.
 
 
 
 
Anne-Bénédicte Joly
 
Anne-Bénédicte Joly est née à Paris en 1963. Elle passera son enfance à proximité de la Vallée de Chevreuse. Passionnée d’équitation, elle fera quatorze ans de compétition de sauts d’obstacles qui l’amèneront à sillonner diverses régions de France. Ce sont le collège et le lycée qui confirmeront son inclination pour la littérature. Une rencontre déterminante avec un professeur de philosophie en terminale oriente ses choix vers un cursus universitaire en lettres modernes : maîtrise, DEA et doctorat. Au cours de ses études, elle découvre aussi l’enseignement, une véritable révélation. À cette époque, un autre événement laissera des souvenirs indélébiles. En effet, elle parviendra à rencontrer Marguerite Duras. Elle lui consacrera d’ailleurs six années d’études sur l’analyse systémique de son œuvre. Après quelques années passées dans l’enseignement, elle prendra alors la décision de se consacrer exclusivement à l’écriture. Des essais naissent d’abord, puis des nouvelles, enfin des romans, forme littéraire qui lui correspond le mieux. Après avoir été largement publiée, l’année 2000 sera pour sa part marquée par deux évènements : la mise en ligne de son site Internet (en avril) et la création (en juin) d’une association culturelle littéraire Les Éditions de l’Avenue ayant pour vocation la création et l'animation d'ateliers d'écriture en milieu scolaire. Ce projet pourrait se résumer ainsi : une année, un livre. Il s'agit, durant une année scolaire, de faire participer des élèves à un atelier d'écriture et de les accompagner, en respectant le programme scolaire, dans toutes les étapes de l'écriture.
 
 


Christelle Plaideau
 
Christelle Plaideau est née le 6 juin 1969 à Dijon en Bourgogne où elle entamera des études qu’elle abandonnera à dix-neuf ans pour gagner le marché du travail. Elle prendra alors une poste de serveuse dans un resto et piano bar où elle cumule les rencontres avec des gens du milieu qui viennent raviver et même soutenir son plus grand rêve, celui de devenir écrivain et parolière. À cette époque, elle côtoie Benoit Reeves, fils d’Hubert Reeves l’astrophysicien, Patricia Milesi, chanteuse de jazz à Lyon, Lise Marin auteur de Ploum l’ours et de Danielle et Valérie, Nicole Bouquet, plume varoise, Carla Robin, écrivain, et enfin Suzanne Weitz, cantatrice, avec laquelle d’ailleurs elle se liera d’amitié. Fortement encouragée, elle s’attaque à son écriture qu’elle veut parfaire tandis qu’elle quitte Marseille pour retourner à Maçon où un ami lui fait cadeau de Reflets d’encre, pages Web qu’elle s’empresse aussitôt de remplir avec ses idées de poèmes et de chansons. Aujourd’hui monitrice pédagogique auprès d’enfants autistes ou avec graves déficiences mentales, non seulement Christelle Plaideau planifie un second retour aux études pour obtenir son diplôme d’éducateur, mais elle songe aussi à se donner les outils nécessaires à la réalisation de ses plus grands espoirs, c’est à dire vivre de sa plume et être chantée… dans le monde entier.

 
 

Claude Yves Bailly

Né le 15 février 1956 dans le JURA, Claude Yves Bailly a publié son premier roman, La carrière et l'enfant, aux Éditions Gunten. Le monde de la mine, pour ce fils d'ancien mineur, univers qui l'a vu grandir aux côtés de son père et de ces hommes qui tutoyaient la carrière souterraine, par un travail dont la dureté rimait avec solidarité. Un hommage à ces « hommes des ténèbres », à leurs familles, rendu par le regard d'un enfant qui déroule la trame d'un roman, inspiré d'un fait réel, une catastrophe minière dans le JURA. Au moment de la tragédie, l'enfant, alors qu'il joue dans la cour de l'école a un accident et tombe dans le coma. Dans cet état le gamin va imaginer cette catastrophe. Se sortira-t-il de son coma ? Son père ? Ou se trouve-t-il ? Là-bas ? Sortira-t-il indemne de l'antre de la carrière ?... Claude Yves Bailly, écrit dans un autre genre, une pièce de théâtre, Les tournesols ne meurent jamais, son premier manuscrit ; une comédie dramatique en 3 actes. Une pièce qu'il propose à la troupe qu'il a créée et qu’il met en scène en 2001. La pièce sera jouée 5 fois, avec succès. Il aime d’ailleurs emprunter d'autres chemins de l'écrit, des textes de chansons pour des chansons à textes, poèmes (la marge est infime entre ces deux genres) pour lesquels l'auteur s'attache à mettre toute sa détermination afin de rencontrer compositeurs et artistes qui feront Vivre ses mots. (La carrière et l'enfant, Éditions Gunten 39100 Dole, ISBN 2914211139.)

 

Dominique Guillaume

Dominique Guillaume est née un 27 avril 1961, d'une maman Polonaise et d'un papa Français. Elle élève son fils seule, qui va maintenant avoir 18 ans. Après avoir fait des études de Secrétariat Médical, puis d'assistante de direction et obtenu un diplôme d'Anglais commercial, je suis restée dans le domaine de la recherche médicale qui m'a beaucoup plu pendant ces 25 dernières années. « J'ai toujours été attirée par l'écriture, la poésie plus précisément. Le domaine ésotérique et tout ce qui touche au côté spirituel (plus particulièrement le domaine de l'angéologie et les cristaux, minéraux) me passionnent beaucoup. Après avoir vécue une descente aux enfers vertigineuse depuis Noël 2006, qui m'a beaucoup fragilisée, je me suis remise assidûment à l'écriture, sortant ainsi mon 1er recueil de poèmes illustrés en octobre 2007 : La femme en équilibre sur le fil de la vie. Je prépare actuellement un deuxième livre-témoignages qui devrait s'intituler : Et la Tendresse ? et Moi ? et Vous ? qui sera aussi illustré. Parallèlement, j'écris sur des photographies que l'on me proposent. Si elles m'inspirent et me parlent ; mes ressentis se transforment en mots, qui sont ensuite couchés dans des poèmes ou bien des textes. Je suis également parolière à mes heures. »


 
 
Jeanne Perrotin Paponet
 
Jeanne Perrotin Paponet, dite Chanteplume, voit le jour le 20 octobre 1931 à Angoulême, Préfecture du département de la Charente, en France. Mariée à 20 ans, elle met au monde 10 enfants qu'elle élève avec Jean, son époux, dans la bonne humeur et le respect des autres. Depuis toujours, elle se passionne pour la musique, la lecture et l'écriture. En 1991, un an après le décès de son époux, elle est mise sous assistance respiratoire et doit garder la maison. Plutôt que de s’abandonner, elle participe au Concours Européen des Arts et Lettres et se voit attribuée un prix d'honneur dans les deux catégories, Poésie libre et Nouvelles. Cette victoire est bientôt suivie d’une autre tandis qu’elle remporte une mention pour ses dessins en série Amateur. Elle continuera ainsi de les accumuler jusqu’au jour de la fête des 1000 ans de l'église d'Angoulins-Sur-Mer où on la sollicite pour exposer son Évangéliaire, série de 12  peintures à l'aiguille (broderie). Après une autre mention au Printemps des Poètes à La Rochelle, elle est encouragée par sa famille et s'initie aux rudiments de l'ordinateur. Dès lors, elle s’attaque au Web et met en ligne ses premiers sites où elle présente ses pastels et ses écrits. Aujourd’hui, elle se penche sur Le Matrimoine, un texte qui retrace l’histoire de leur famille. Amoureuse et littéralement passionnée par la vie, Jeanne Paponet ne respire que par ses deux devises : On ne voit bien qu'avec le cour et s’il fait gris aujourd'hui, il fera beau demain !
 
 
 
 
Joël Roy
 
Joël Roy est né le 20 septembre 1989 à Bathurst au Nouveau-Brunswick, Canada, où il réside toujours. Après avoir complété ses études de niveau primaire à l’École La Croisée de Robertville, il est inscrit à l’École Secondaire Népisiguit de sa ville natale. Quoiqu’il se souvienne avoir toujours aimé l’écriture, ce ne sera qu’à la fin 2003 qu’il s’y consacrera sérieusement. C’est durant sa 9e année que l’enseignante attitrée au cours de français le remarque. Elle s’empressera de le porter à l’attention des autres professeurs de son département qui reconnaissent en lui le talent voulu pour l’improvisation. Vif, intelligent mais à l’esprit contestataire, il se surprend bientôt à négliger ses études au profit de sa passion, mais se reprend très vite et regagne le temps perdu. Depuis, ses études passeront avant tout. Maintenant âgé de 16 ans, il travaille néanmoins son premier manuscrit, une histoire fantastique qu’il espère avoir terminée au printemps prochain. Spontané, jovial et altruiste, Joël Roy a le don de faire rire les autres. D’ailleurs, cet amour qu’il porte à son entourage fait de lui un adolescent au cœur tendre, à l’âme ouverte et aux dires chaleureux.  
 
 
  
 
Marie Liehn
 
Marie Liehn est née le 23 août 1961 à Marseille, en France. Elle écrit depuis sa tendre enfance. Dès l’âge de 11 ans, elle voit un de ses textes publié dans une revue d’un centre de vacances ; une époque qu’elle fera suivre par ce qu’elle appelle aujourd’hui le temps de la lecture et surtout des grands classiques, pour ensuite entrer au service d’une grande banque française où elle oeuvrera une quinzaine d’années avant de tout abandonner pour ne se consacrer qu’à ses enfants et enfin revenir à l’écriture. Sa première nouvelle, L’instituteur, est remarquée par France Loisir et éditée dans l’un de leurs recueils : Histoire de nos villages. Il va sans dire que cela lui donnera un coup de fouet ! Elle en écrira des dizaines d’autres, les présentera à des concours, sera nominée et obtiendra aussi quelques prix. Pour son premier roman, Le chant des cigales, elle cherchera longtemps un éditeur mais sans trouver preneur. Sans se décourager, elle en écrira un second, Sîmos le Camus – La fondation de Marseille, qui se verra publié sous Les éditions L’Harmattan. Reconnaissante parce qu’ils la lancent, elle se sentira toutefois insatisfaite parce qu’ils ne lui font pas de promotion. En guise de réponse, elle changera le nom de son premier roman, Le chant des cigales, qui deviendra La colère de Dieu et sera édité par L’Autre Rive, une maison plus petite. Mais encore une fois déçue, elle décide alors de former une nouvelle association littéraire, afin d’aider les auteurs débutants ou inconnus, qu’elle lance sur le Web sous le nom de La lampe de chevet, à laquelle elle se voue toujours.
 
 
 
 
Michel Dachy
 
Michel Dachy est né le 21 janvier 1953 à Bruxelles, Belgique. Père de deux enfants, c’est en 1979 qu'il arrive au Canada où il décide de s’installer. Quoiqu’il n’ait jamais cessé d’écrire, il prend un poste en rapport avec les livres et leur univers et s’attache à l’UQAM — Université du Québec à Montréal, institution à l’intérieur de laquelle il oeuvre toujours. Sa spécialité, comme il aime à le dire, le sonnet classique, qui lui vaudra d’ailleurs plusieurs prix à des concours de France, de Belgique et du Canada. Auteur du recueil de poèmes intitulé Persévérance, qui fut publié en 1984 aux Éditions du Blé, une maison manitobaine du Canada, il s’aventure aussi dans l’autopublication et compte aujourd’hui dix recueils de poésie ainsi que deux autres, mais de contes alexandrins qui parlent des légendes et du folklore des Ardennes en Belgique dont l’un lui vaudra également, en 2005, le Prix du Meilleur Poème Étranger au concours de poésie de Montmélian, Savoie, France. Également parolier, il est présentement à la recherche d’un interprète pour ses chansons. Comme bien des auteurs d’aujourd’hui, Michel espère voir ses sonnets publiés, plus de 550 classiques à ce jour. Il résume son plus grand rêve en disant combien il aimerait vivre de sa plume.
 
 
 
 
Pascale Guillaumin
 
Née par un 10 septembre  à Montluçon, Bourbonnais, Pascale Guillaumin a longtemps écrit en secret. Éduquée dans un monde où on pense que réussite sociale rime avec bonheur, elle fréquente une école supérieure de commerce tandis que l’écriture vient combler son besoin d’exprimer un essentiel qui l’étouffe. C’est grâce à la compréhension de son mari qu’elle se réorientera comme documentaliste après la naissance de ses deux enfants. Partagée entre son métier, sa famille et le bénévolat, elle écrit encore et sa passion devient vite son principal soutien alors que son entourage y voit une rupture plutôt qu’une vocation. Bientôt les romans et les nouvelles prennent forme, mais plus Pascale s’y adonne, plus elle se questionne sur la raison et la valeur de ses écrits. Dès lors, elle se met en quête de réponses auprès d’écrivains réputés. Rassurée et réconfortée par leurs propos, elle persiste ; trois romans et une centaine de textes voient le jour. Après quelques parutions dans des revues, non seulement osera-t-elle s’affirmer ouvertement, mais elle décidera de regrouper les citations et extraits qui l’ont tant accompagnée ; manuscrit duquel naîtra son premier livre, Besoin d’écrire, désir de (se) dire, un recueil de propos écrits par 108 écrivains, qui paraîtra sous les éditions Chronique sociale. Aujourd’hui, elle travaille sur des textes qui traduisent l'émotion susceptible d’être captée dans l'événement le plus anodin. Pascale Guillaumin parle de ces nouveaux manuscrits comme d’une recherche pour être au plus près de la vie et d’une façon de traduire le bonheur de vivre… le sien.
 
 
 
 
Paule Doyon
 
Paule Doyon est née le 27 mai 1934 à Taschereau en Abitibi où elle a passé son enfance. À vingt-deux ans, elle émigre en Mauricie où elle vit depuis. Cette dame au grand cœur qui déteste le mot écrivaine, partage sa vie entre sa famille, son amour pour la nature et la solitude ainsi que sa passion pour la lecture et la plume. Écrivain et poète, elle a déjà publié plusieurs romans, tels que Faut que je te parles d’Albert, prose humoristique qui a charmé les critiques et Le bout du monde, histoire vraie de l’Abitibi bientôt rééditée chez Fides dans une version allongée. Également poète, elle est l’auteure de Les bruits de la terre, de Musiques blanches et de trois autres recueils, tous disponibles aux Écrits des Forges. Après Stanké, Boréal, Naaman, Fides, En Marge et Des Forges, loin de s’arrêter, elle se donne un site, Il était uns fois l’imaginaire…, où elle expose sa poésie ainsi que des contes et légendes, puis revient à la charge et dépose sur Manuscrit Dépôt un autre roman, Le secret, une deuxième incursion – après Urgel, Eso et Eux – dans le fantastique, un genre qu’elle affectionne particulièrement. Aujourd’hui animatrice auprès des jeunes comme des adultes, Paule Doyon déclare que c’est en écrivant pour les enfants qu’elle découvrit son âme poétique et que c’est encore en écrivant pour eux qu’elle a touché la profondeur de cet amour qu’elle porte au fantastique et à la poésie.
 
 
 
 
Renée Jeanne Mignard
 
Renée Jeanne Mignard est née le 29 novembre à Nevers, France. Elle a longtemps vécu à Paris et sur La Côte d’Azur avant de retrouver ses origines ligériennes et s’installer à Montbazon où elle réside depuis 1987. Dès son plus jeune âge, elle a toujours eu envie d’écrire. Quoiqu’elle attendra plus tard pour exprimer les sentiments qui l’habitaient, son goût pour la poésie lui viendra du temps où elle travaillait l’art dramatique et les auteurs classiques en compagnie de Pierre Dux et Jean Debucourt, tous deux sociétaires de la Comédie Française. Depuis, elle autopubliera cinq recueils, Écrits du cœur, La corde sensible, Coup de cœur, Le cœur en émoi, À cœur joie et son dernier-né, Le cœur au bord des rimes. Toujours active, elle prête son concours bénévole dans les écoles et les bibliothèques et anime tous les ans une soirée poésie à la Grande Rouge de Montbazon tout en se gardant disponible pour chacun des événements importants de la cité sur lequel elle s’empressera d’écrire le poème qui convient. Renée Jeanne Mignard déclare n’avoir certes pas choisi la voie la plus facile… car la poésie est, hélas, la pauvre parente de la littérature. Néanmoins, elle possède un noyau de lecteurs fidèles qui la suivent depuis son tout premier recueil, et cela suffit à son bonheur.

 
 
 

Aveline

et son équipe


Catalogue


Le vent dans les voiles...
Disponible


Des encriers sur la table
Disponible


Pêle-Mêle
Disponible


Elle l'appelait son suisse
Disponible



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